Rénover et agrandir plutôt que déménager : la solution gagnante
Vous adorez votre quartier de Québec et l’option de déménager ne vous enchante pas. Il reste que vous aimeriez vraiment « réinventer votre intérieur », d’autant que votre petite famille commence à se sentir à l’étroit dans la maison. Êtes-vous pris dans un dilemme insurmontable? Pas du tout. La solution passe par une rénovation qui inclut l’agrandissement de votre maison.
Que ce soit par une extension ou par l’ajout d’un étage, tout agrandissement domiciliaire ne doit toutefois pas être pris à la légère. Il vous faut obtenir plans et permis, demander des soumissions, recevoir une offre acceptable et, surtout, compter sur un excellent entrepreneur général. Recommandée par le CAA Habitations, Constructions Cyr est passée maître dans la revalorisation des maisons, dans leur transformation et leur agrandissement. Expérience, goût et savoir-faire garantis.
Soit parce que vous habitez dans une maison que ne convient plus à votre situation, soit parce que vous voyez le potentiel de votre nouvelle acquisition, les rénovations majeures (celles qui passent par un agrandissement) que vous envisagez présentent de nombreux avantages. Oubliez tout de suite l’idée selon laquelle « les gros travaux, c’est l’enfer ! ». Avec de la méthode, un plan d’action et un entrepreneur en construction compétent, les histoires de dépassement de coûts, de délais supplémentaires et de chantiers chaotiques ne collent plus à la réalité. En fait, agrandir votre maison sera peut-être la meilleure décision que vous aurez jamais prise. Car il y a beaucoup de bénéfices à ajouter une annexe ou un étage :
Vous vous êtes inspiré en lisant des revues, en visitant des sites web et en vous promenant dans la banlieue. Très bien. On voit que les gens qui font faire l’agrandissement de leur maison optent souvent pour une construction au-dessus du garage. Or, l’ajout d’un étage à un plain pied est tout à fait possible. Et les extensions (avec ou sans fondations) vers l’arrière, notamment pour intégrer une verrière, sont toujours aussi populaires. Vous avez ensuite déterminé vos besoins et votre budget. Excellent. Vous avez donc une bonne idée du type de rénovation requis. Tout dépendant de l’agrandissement voulu, une excavation, l’installation de pieux, l’intégration de poutrelles, une modification du toit, etc., pourront être nécessaires. Ces travaux ont un impact sur les étapes ultérieures.
Avant même de bouger quoi que ce soit ou d’engager qui que ce soit, vous devez vérifier auprès de votre municipalité si le projet d’agrandissement que vous ciblez pour votre maison est autorisé sous l’angle des normes et des règlements municipaux. Il peut y avoir des exigences ou des restrictions à observer, de même que des permis à obtenir.
Cette fois, il s’agit de valider votre projet (dans ses grandes lignes) du point de vue de la physique et de la mécanique, et ce auprès idéalement d’un ingénieur. Ce dernier pourra vous certifier, par exemple, que la structure de votre maison a la solidité nécessaire pour soutenir un étage supplémentaire complet ou partiel, ou encore pour évaluer si le sol peut tolérer l’agrandissement projeté.
La troisième étape est importante. En rencontrant un architecte, vous obtiendrez des plans en bonne et due forme. Une ébauche sera d’abord produite, puis les dessins finaux seront réalisés après discussions et en fonction de l’entente conclue. Des honoraires sont alors facturés. Ces plans de l’agrandissement de votre maison seront ensuite suivis par l’entrepreneur de votre choix. Ne vous fiez pas cependant aux prévisions de prix de l’architecte concernant la construction. Une autre voie est possible et tout aussi valable : vous y allez d’abord d’une demande de soumission auprès d’un constructeur/rénovateur à qui vous avez bien détaillé votre projet pour qu’il en établisse la faisabilité et les coûts. Si vous acceptez son offre, les plans seront ensuite réalisés (à moindre coût) par un technologue en architecture engagé par le constructeur. Vous n’aurez ainsi aucuns honoraires professionnels à payer avant de connaître le coût exact de votre rénovation.
Vous pouvez faire vos propres démarches en ce qui concerne les demandes de soumission pour vos rénovations. Mais de plus en plus de gens optent pour les services de conseillers (présents sur le web) qui vous assistent dans la sélection des entreprises de construction (vérification des licences, assurances, références, plaintes à l’Office de protection du consommateur, etc.). Notez que leur travail n’est pas gratuit; une hausse de la soumission de 4% à 10% est à prévoir si vous passez par eux. Une fois vos entrepreneurs sélectionnés, vous leur présentez votre projet (avec ou sans plans) afin que chacun vous prépare une soumission écrite. Les soumissions d’au moins trois entrepreneurs différents sont nécessaires pour pouvoir comparer les comparables. Il est possible, on l’a vu, de débuter une relation d’affaires avec un entrepreneur même si vous n’avez pas de plans. Certains constructeurs ont une vaste expérience et arrivent à des estimations très exactes uniquement sur la base de ce que vous leur expliquez. Mais des plans sont toujours nécessaires pour la suite des choses.
Un agent Web n’est pas requis pour trouver un bon constructeur de maison. En effet, vous pouvez vous-mêmes demander les attestations d’assurance chantier, de responsabilités civiles, la copie de la licence et les copies d’accréditations. L’agent Web n’est souvent pas aussi connaisseur que le constructeur en ce qui a trait à la gestion de projets de construction. Demandez-leur des questions au sujet du vôtre afin d’évaluer leurs compétences. Si vous faites affaire directement avec un constructeur fiable, comme Constructions Cyr, il est inutile d’engager un agent web ou un autre intermédiaire qui vous chargera, de toute façon, une commission.
Le moment est arrivé : vous devez choisir qui se chargera de réaliser votre projet d’agrandissement de maison. Ne basez pas votre décision que sur le prix; votre impression générale de l’entrepreneur est importante. Comme c’est lui qui concrétisera les choses, mieux vaut que le « courant passe bien » ! Si ce n’est déjà fait, assurez-vous que l’entrepreneur choisi soit inscrit à la Régie du bâtiment du Québec (RBQ), qu’il soit bien autorisé (licence) à réaliser les travaux en question, et qu’il possède des assurances suffisantes. Puis signez le contrat. Le nom de l’entrepreneur doit y apparaître, le même que celui qui est répertorié à la RBQ et au Registraire des entreprises – Québec.
En plus d’être réputé, Constructions Cyr détient toutes les certifications requises.
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Chaque projet d’agrandissement de maison est unique de sorte que vous ne pourrez obtenir d’entrée de jeu une estimation très précise des coûts que représentera la réalisation des plans. Certes, il y a des balises. Pour un simple projet de façade sans changement majeur à la structure de la maison ni déplacement des ouvertures, les plans peuvent se chiffrer à quelques centaines de dollars. Tandis qu’un projet complexe, avec améliorations structurales, nouvelles divisions, ajout d’un étage, etc., représente quelques milliers de dollars, surtout si vous voulez recevoir plus d’une proposition (plan) de votre architecte. Notez que, tant chez les agences de technologues en architecture que chez les firmes d’architectes, les tarifs sont horaires. Vaut mieux alors arriver préparé à votre rendez-vous. Autrement dit, demandez-vous ce qui vous motive fondamentalement à vouloir agrandir votre maison, établissez au préalable votre budget et clarifiez vos idées de rénovation.
Gagner de l’espace ou créer du volume habitable est au cœur de tout projet d’agrandissement domiciliaire. On ne jette habituellement pas des murs à terre rien que pour une question d’esthétique. Or, quelles que soient vos préférences et l’ampleur des modifications rêvées, une maison doit toujours demeurer fidèle à elle-même. Tout ajout ou extension doit se penser en fonction de l’apparence globale et du style original de l’immeuble. Dans son travail, l’architecte tiendra compte des caractéristiques du bâti existant et vous demandera ce à quoi vous tenez le plus dans ce dernier. Il peut s’agir de la forme du toit, des matériaux extérieurs utilisés, de l’ambiance qui règne à l’intérieur, etc. Par ses plans, l’architecte veillera à améliorer le look, l’ergonomie et l’habitabilité, mais il se fera aussi un devoir d’agencer le nouveau avec l’ancien (là où celui-ci n’est pas sans intérêt). Un agrandissement réussi est un agrandissement qui s’harmonise à la structure et à la décoration de la maison à laquelle vous tenez tant.
Vous ne pouvez faire abstraction de la Loi sur le bâtiment, du Code de construction et des règlements municipaux dans votre projet de modification de maison. C’est d’ailleurs au service d’urbanisme de votre municipalité qu’il vous faudra obtenir le permis autorisant légalement que les travaux peuvent commencer. On vous demandera alors plusieurs documents. Il est possible qu’on exige que vos plans soient signés par un architecte ou par un technologue en architecture. Le coût du permis n’est pas le même d’une ville à l’autre (c’est plus abordable en région), et l’ampleur de la rénovation est également un facteur qui joue. Comptez quelques mois avant de recevoir une réponse. Dans le cas d’un agrandissement de résidence, les documents suivants seront exigés (des documents que vous pouvez préparer en tant que propriétaire) :
Types d’agrandissement de maison populaires | Prix pour l’agrandissement |
---|---|
Extension latérale sur fondation (400 à 600 p²) | 57 000 à 65 000$ selon le type de finition |
Ajout d’étage | 90 000 à 150 000$ en fonction des dimensions |
Garage sur fondation attenant à la maison (400 à 600 p²) | 57 000 à 65 000$ approximativement |
Garage avec étage habitable (350 à 600 p² par étage) | 95 0000 à 110 000$ |
Garage sur fondation attenant à la maison 400 à 600 p² approx 57 000 à 65 000
Une certaine règle générale dit qu’une modification résidentielle ne peut se faire sous les 50 000$. Et que l’ajout d’un étage complet va chercher en moyenne dans les 100 000 $ à 150 000 $ pour une surface de 900 à 1000 pieds carrés. Ces montants sont évidemment taxables. Vous aurez néanmoins droit à un remboursement de taxe (TPS : 36 % max. / TVQ : 50 % max.), mais il y a des conditions. Chose certaine, il reste difficile de déterminer avec exactitude à combien se chiffre tel ou tel projet si on ne fait pas d’abord l’examen des travaux transposés dans leur contexte de réalisation. Il existe deux méthodes pour ce faire : la méthode de coût au pied carré et la méthode des coûts complets.
Très utilisée par les entrepreneurs, la méthode de coût au pied carré consiste à tout mesurer ce qui peut l’être dans un projet, puis de traduire ces mesures en valeur de travail. Ainsi, une fois les pieds linéaires, carrés ou cubes déterminés, on n’a qu’à multiplier les quantités obtenues par le prix (au pied linéaire, carré ou cube) de la construction à faire. Par exemple, du plancher de bois franc (posé) de qualité X coûte 10 $/pi2. Un plancher de 200 pi carrés va donc coûter 200 x 10 $, soit 2000 $. Cependant, il faut aussi prendre en considération le fait qu’en construction le coût au pied carré d’un travail est habituellement inversement proportionnel à la quantité de travail à faire (économie « d’échelle »). Il vaut donc la peine de bien examiner les estimations produites.
La méthode des coûts complets sous-entend une connaissance approfondie en estimation de bâtiment. Cette méthode se base sur l’identification de toutes les tâches à réaliser dans le projet, métier par métier, et sur la liste de tous les matériaux nécessaires à la l’accomplissement de ces tâches. Il faut donc bien voir les spécialités que le projet nécessite, connaître les coûts de main-d’œuvre reliés à ces spécialités et être au fait des prix de tous les matériaux ciblés.
Le meilleur gage de justesse dans l’évaluation des travaux à faire dans le cadre de votre projet est la qualification et l’expérience de l’estimateur. De nos jours, l’estimateur peut également compter sur de gigantesques bases de données. Mais donner des chiffres ici ne pourrait être significatif considérant les multiples nuances et particularités de votre projet d’agrandissement. Allons-y plutôt de quelques conseils généraux :
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Allonger, élargir, hausser… L’agrandissement d’une maison a essentiellement pour but, on l’a dit, d’accroître sa surface habitable. À cet égard, les possibilités techniques et les astuces sont nombreuses. En convertissant une cave en sous-sol, en transformant une galerie arrière en solarium ou en exploitant le grenier du garage, un nouveau milieu de vie prend forme. De façon plus évidente encore, la réalisation d’une extension ou la surélévation de l’immeuble crée des espaces aux finalités multiples. À ce chapitre, les travaux les plus en vogue sont l’ajout d’un étage et/ou d’une extension arrière, la construction d’une aile, d’un garage ou d’un solarium, la construction d’une pièce au-dessus d’un garage existant et la conversion d’une maison unifamiliale en maison « bigénération ».
On le voit ici et là dans les banlieues plus anciennes : des propriétaires « doublent leur maison » en y procédant à un ajout d’étage. Au lieu de déménager dans un nouvel ensemble résidentiel (souvent peu boisé), ils agrandissent pour aménager des chambres ou pour créer un logement complet, qu’ils pourront louer. Dans la très grande majorité des cas, la dépense devient un investissement puisque la valeur de la maison modifiée est également multipliée et parce que les revenus tirés de la location compenseront largement la hausse de l’hypothèque. De toute manière, les terrains « bien situés » (urbains) sont de plus en plus rares et plus petits. Du reste, l’option d’ajouter un étage au lieu de repartir à neuf permet de conserver ce dans quoi on a déjà investi financièrement et émotivement : un sous-sol adapté et bien meublé, une terrasse avec piscine, un aménagement paysager, un cabanon, etc.
Si on met la question du zonage et des autorisations municipales de côté et que l’on ne considère que l’aspect structurel, très peu de maisons sont inaptes à recevoir une annexe supérieure. Les demeures dont les fondations sont en béton coffré (ou coulé) sont les meilleures candidates. Quand elles reposent sur des « blocs de ciment » (de béton), c’est plus dispendieux, mais la technologie permet maintenant de ceinturer les fondations afin d’être conformes aux normes quant à la solidité. Les moins compatibles à l’ajout d’un étage sont les maisons construites sur pilotis ou sur pieux.
La complexité du projet est un facteur déterminant. Chambres et salle de bain (et la toiture, bien sûr) se construisent plus rapidement qu’un logement complet ayant sa propre entrée. Dans le premier cas, l’étage sera complété en six semaines si tout va rondement ; dans le second cas, il faut compter parfois jusqu’à trois mois avant que tout soit fini. Beaucoup d’entrepreneurs offrent des projets clés en main : plans et dessins, revêtement extérieur, finition intérieure… tout est compris. Certaines entreprises permettent aussi aux propriétaires bricoleurs d’effectuer un part du travail, à leur rythme. Seuls les éléments structuraux font alors partie du contrat de rénovation. Sachez par ailleurs que les entrepreneurs peuvent faire l’agrandissement d’une maison en toute saison; la neige et le froid ne causent pas de problèmes de construction à proprement parler. La pluie est davantage surveillée.
Quelques entrepreneurs proposent d’ajouter un étage à votre maison en une journée. Précisons les choses : tout n’est pas construit en une seule étape. Avant de « monter l’étage », la demeure est d’abord préparée : le revêtement extérieur est enlevé, des échafaudages sont installés, une nouvelle toiture est construite sur le terrain (évidemment, il faut avoir l’espace disponible). Cela dit, quand arrive le jour J, deux ou trois jours plus tard, la structure (murs et toit) du nouvel étage est effectivement mise en place en une journée, et ce, afin que la maison retrouve son étanchéité le plus rapidement possible. Toute une procédure doit alors être suivie minutieusement, une grue est requise de même que beaucoup d’ouvriers. Une telle performance évite aux propriétaires de quitter leur maison durant les travaux, sauf au moment même de l’ajout de l’étage, par mesure de sécurité. Les jours ou les semaines suivantes, les fenêtres et les portes sont installées, le scellement et le revêtement extérieurs sont complétés, la division des pièces est réalisée. La finition intérieure termine le projet.
Moins coûteuse (environ 5 000$ de moins), la façon traditionnelle d’ériger un étage sur une maison existante est la plus courante. Les ouvriers démolissent et enlèvent ce qui doit l’être, puis ils construisent le plancher de l’étage. Des toiles protectrices sont installées pour la nuit. Les murs et la structure du toit sont bâtis le lendemain. Avant la pose du bardeau, une membrane autocollante est fixée à la toiture pour assurer l’étanchéité durant l’intervalle. Le bardeau est habituellement terminé le troisième jour de construction. Les autres étapes se succèdent jusqu’à la finition intérieure.
Les agrandissements « latéraux » offrent également de belles possibilités. Pour un maximum d’espace créé, une extension avec fondations est l’option à privilégier. Mais l’opération est plus complexe et beaucoup plus coûteuse. C’est pourquoi beaucoup de propriétaires choisissent plutôt d’agrandir leur maison ou leur chalet en y annexant une pièce (ou davantage) reposant sur des pieux vissés dans le sol. La construction est alors nettement meilleur marché. Cette technique très au point a ses avantages. Les pieux résistent très bien aux sols instables, ils conviennent aux zones inondables, ils nécessitent une machinerie relativement légère et peu de béton, leur pose est rapide et leur installation a peu d’impacts négatifs sur votre propriété. Privilégiez les pieux vissés aux « Sonotubes », lesquels ne peuvent se faire sans excavation, coulage de béton, ni remblayage.
Par contre, les rallonges sur pilotis sont un peu plus difficiles à chauffer l’hiver en raison de leur exposition supplémentaire au froid. Il est donc important de ne pas lésiner sur l’isolation du plancher de ce type d’annexe. S’ils demeurent plus froids, ces planchers doivent surtout rester étanches afin d’éviter toute détérioration de la finition intérieure. Les rallonges sur pieux n’apportent pas une plus-value aussi importante à votre maison que les autres types d’extension. Par contre, elles sont beaucoup plus faciles à réaliser.
Vous voulez que la nouvelle partie ajoutée à votre maison soit confortable en toute saison, mais vous ne voulez pas investir trop d’argent dans des fondations (sous-sol ou vide sanitaire). Y a-t-il une solution ? Affirmatif. Ce compromis prend la forme d’une dalle de béton monolithique, c’est-à-dire coulée d’un trait, sur laquelle votre rallonge sera érigée. Le coût de réalisation est plus important que celui des systèmes sur pieux, mais très inférieur à celui de l’excavation. L’isolation est simple et efficace, et un plancher chauffant de type hydronique (par rayonnement) peut facilement être intégré à la dalle. Il est prudent de solliciter l’avis d’un ingénieur (structure résidentielle) avant d’entreprendre les travaux, et de vérifier si le sol de votre terrain est compatible avec la construction sur dalle de béton.
Peu de particuliers prennent la responsabilité d’un projet d’agrandissement le moindrement majeur, et encore moins tentent d’y aller en mode « do it yourself ». Et on peut comprendre pourquoi. En effet, de nombreux facteurs sont à considérer quand il s’agit de modifier significativement sa maison : sa géométrie et la structure du toit, l’état de ses fondations, son isolation, la disposition de ses portes et fenêtres, son aménagement extérieur, etc. De plus, on l’a vu, il faut que le résultat de l’agrandissement soit bon non seulement d’un point de vue quantitatif, mais aussi qualitatif. Bref, la maison rénovée doit être ergonomique et agréable à regarder ! Elle doit rester équilibrée, harmonieuse. On ne peut se focaliser que sur le prix des matériaux qui seront utilisés ; il faut aussi se soucier de leur intégration au bâti existant. La maison doit en outre être prête dans des délais réalistes.
Toutes ces notions et ces impératifs demandent étude, analyse et recherche préalable. Même modestes, des travaux d’agrandissement requièrent une planification détaillée et de la rigueur. Il y a les règlements municipaux à respecter, évidemment, mais au-delà des autorisations, il y a les normes techniques, les plans, les matériaux, les méthodes de travail, les échéanciers, la gestion du chantier, etc. Tout cela fait bien du travail ! Il est donc logique de confier tout projet d’agrandissement de maison à des professionnels qui ont de l’expérience dans le domaine.
Avec l’architecte et l’ingénieur, l’entrepreneur général en construction est le professionnel qui contribue à vous simplifier les choses quand il est question d’un agrandissement de maison. Il est à noter que certains entrepreneurs offrent aussi des services en architecture et en ingénierie. Quoi qu’il en soit, la tranquillité d’esprit des propriétaires passe par le mandat qu’il confie à leur entrepreneur général. Ce dernier est vraiment en mesure de voir à ce que tous les aspects de la construction soient considérés. Il planifie, il délègue, il achète, il exécute, il supervise, il livre, etc., tout en respectant les standards de qualité de l’industrie. À cet égard, dans la région de Québec, Constructions Cyr est irréprochable.
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L’entreprise de construction et de rénovation qui prend en charge un projet d’agrandissement de maison emploie ou engage des ouvriers et des techniciens dans différents domaines de la construction : excavation, fondations, conception (génie civil), gestion de projet, électricité, design, etc. Il importe aussi que cette main-d’œuvre ait suivi des formations spécifiques afin de maîtriser les nouveaux procédés, les outils les plus efficaces et les produits innovateurs sur le marché. Parfois, de la R et D est également faite à l’interne.
Que votre projet d’agrandissement concerne un cottage, un bungalow, un jumelé, une maison ancestrale, un immeuble locatif ou autre, c’est toute une équipe multidisciplinaire qui s’active quand l’entrepreneur général en construction obtient le feu vert. Pensons par exemple aux spécialistes dans les domaines :
Ne sous-estimez pas l’espace qui peut être créé et aménagé au-dessus d’un garage attenant à la maison. Il faut bien sûr vérifier si la structure peut supporter un étage. Un ingénieur indépendant ou un entrepreneur en construction vous le dira. Si ce n’est pas le cas, des renforts peuvent être intégrés.
Si les règlements municipaux ne l’interdisent pas, vous verrez à quel point on peut augmenter la surface habitable d’une maison en utilisant une partie de la cour arrière. Idéalement, le bâti devrait être augmenté sur toute sa largeur.
La technologie des pieux a progressé et soutient solidement les allonges et annexes. Mais la technique de l’extension en porte-à-faux est également très avantageuse. Cette technique permet à un élément d’être soutenu par une composante au-dessus du vide, non supportée au sol. On peut ainsi augmenter les dimensions d’une pièce jusqu’à quatre pieds sans aucune excavation.
Toutes les transformations en hauteur ne sont pas profitables. Métamorphoser un bungalow en cottage induit par exemple un coût très élevé pour l’enlèvement complet du toit. Vaut mieux alors déménager, à moins que la maison se situe sur un site exceptionnel et que les propriétaires ne se formalisent pas de l’aspect budgétaire.
En milieu urbain, comme les appartements sont assez souvent de forme rectangulaire et ont un seul mur fenestré, ajouter une pièce risque de diminuer la luminosité naturelle à l’intérieur. En banlieue, par ailleurs, il est important de toujours respecter le cachet initial de la maison à modifier, tout comme le style général et la gamme des maisons avoisinantes.
En agissant comme entrepreneur général dans le cadre des travaux sur votre maison, vous devez savoir qu’il vous faudra vous procurer une licence auprès de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ). Sinon, vous risquez de devoir payer une amende lors d’une inspection. Il vaut toujours mieux clarifier votre cas dès le départ en contactant la RBQ. Tous les entrepreneurs spécialisés qui feront des travaux pour vous en sous-traitance doivent aussi posséder leur licence de la RBQ.
L’agrandissement d’une maison est assujetti à la Loi sur les relations du travail, sur la formation professionnelle et sur la gestion de la main-d’œuvre dans l’industrie de la construction. Cette loi (R-20) est appliquée par la Commission de la construction du Québec (CCQ). Selon cette loi, un individu qui veut participer à l’agrandissement d’une maison doit être un employé, un employeur, un entrepreneur ou un représentant attitré.
Par souci d’économie ou pour avoir un coup de main dans une ambiance décontractée, vous faites appel pour vos travaux à des membres de votre famille et à des amis. Pour être en loi, vous devez savoir que tout ce beau monde doit être qualifié et autorisé à être sur un chantier, en plus d’être suffisamment rémunéré. Sinon, vous aurez inévitablement des nouvelles (ou la visite) des gens de la CCQ, de la RBQ, du ministère du Revenu du Québec et de la CSST. Nous répétons : des représentants notamment de la Commission de la construction du Québec pourront se rendre chez vous (où là où se font les rénovations majeures) afin de procéder à des vérifications concernant les certificats de compétence et la rémunération des heures travaillées par vos « ouvriers ».
Ce n’est pas tout. Comme entrepreneur général, vous êtes responsable des travaux. Ainsi, vous n’êtes plus admissible à tous les recours advenant des travaux incorrectement effectués par votre main-d’œuvre.
Pour ces raisons, il est beaucoup plus simple d’engager un entrepreneur général ou un constructeur qui verra à ce que vos travaux d’agrandissement soient bien faits et dans le respect des règles en vigueur dans le domaine de la construction.
Ajouter un étage à un immeuble résidentiel ou l’améliorer par une allonge demande du savoir-faire et de l’expérience. Les entrepreneurs en construction sont les intervenants incontournables dans tout projet d’agrandissement de maison. Et parmi eux, certains se distinguent par leur haut niveau de professionnalisme et par leur fiabilité hors pair. C’est le cas de Constructions Cyr.
Cotée par une firme externe, Constructions Cyr a une réputation d’excellence depuis des années. Le constructeur de maisons de Québec répond à toutes les attentes concernant la qualité du service, les travaux réalisés, l’amabilité du personnel, les suivis, les échéances, le budget, la gestion du chantier, etc. Constructions Cyr est appuyée par le CAA Habitations. Cela veut dire que l’entreprise a été évaluée selon des critères spécifiques rigoureux et qu’elle a reçu des éloges. En effet, tant sa crédibilité, sa solvabilité, sa santé financière que sa conformité aux procédures commerciales (contrats, factures, inscriptions, assurances) sont irréprochables.
De plus, avec Constructions Cyr, tout est droit et clair en ce qui a trait aux soumissions. Nous disposons d’un système d’estimation très précis, à la fine pointe de la technologie. Ce système ne laisse pas de place à l’inconnu : les clients n’ont pas de « surprises » ! Une équipe de conseillers est d’ailleurs toujours à l’écoute de la clientèle. Chaque soumission est gratuite et n’engage aucunement les propriétaires qui font appel à notre expertise. Contactez-nous dès maintenant.
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